Vos questions sur les acides aminés
Qu’appelle-t-on acides aminés, à quoi servent-ils et où les trouver ? Comment sont-ils fabriqués et pourquoi les incorporer dans des compléments alimentaires ? Le point sur cette famille de molécules très particulière et essentielle à la vie de nos cellules et de nos organes.
Acides aminés définition
Qu’est-ce qu’un acide aminé ?
Un acide aminé est une molécule naturellement présente dans la nature composée de trois groupements d’atomes :
- Un groupement amine (NH2 = 1 atome d’azote et 2 atomes d’hydrogène),
- Un groupement carboxyle (COOH = 1 atome de carbone, 2 atomes d’oxygène et 1 atome d’hydrogène),
Ces deux groupements sont communs à tous les acides aminés.
- Un groupement qui est propre à chaque acide aminé, qui va donc les différencier (appelé R pour radical).
Les acides aminés interviennent dans les processus vitaux de l’organisme et contribuent au bon fonctionnement de tous nos organes.
Combien existe-t-il d’acides aminés ?
Un peu plus de 500 acides aminés ont été identifiés dans la nature, mais seuls 20 acides aminés servent à fabriquer les dizaines de milliers de protéines dont le corps a besoin.
Ont-ils tous une terminaison en « ine » ?
Lysine, Glycine, Proline, Histidine, Arginine, Valine, Tyrosine, Thréonine, Glutamine, Alanine, Cystéine… Quasiment tous les acides aminés ont une terminaison en « ine », à quelques exceptions près comme le Tryptophane, l’Aspartate, le Glutamate. Cette terminologie désigne tout simplement leur groupement « amine ».
Pourquoi un « L » devant les acides aminés ?
L-Cystéine, L-Proline, L-Tyrosine, L-Valine… Les acides aminés sont très souvent précédés de la lettre « L ». Cette lettre désigne la configuration dans l’espace de la molécule. En effet, chaque acide aminé existe sous deux formes, exactement la même mais en miroir (chacune est le reflet de l’autre dans un miroir), comme notre main gauche (L) et notre main droite (D). Pour une raison encore inconnue, tous les acides aminés de notre corps sont des L-Acides aminés, à l’exception de la glycine qui est symétrique dans un miroir.
Quelles différences entre acides aminés essentiels, non-essentiels et semi-essentiels ?
Tout dépend de la capacité qu’a notre organisme à les fabriquer lui-même ou non.
- Les acides aminés sont dits « essentiels » lorsqu’ils ne peuvent pas être fabriqués par notre organisme. Ils doivent donc impérativement être apportés par l’alimentation. Ils sont au nombre de 9 : Histidine, Isoleucine, Leucine, Lysine, Méthionine, Phénylalanine, Thréonine, Tryptophane, Valine.
- Les acides aminés non-essentiels sont produits par l’organisme. On en dénombre 11 au total : Glutamate (Acide glutamique), Alanine, Arginine, Asparagine, Aspartate, Cystéine, Glutamine, Glycine, Proline, Sérine, Tyrosine.
- Les acides aminés semi-essentiels (également appelés acides aminés conditionnellement essentiels) font partie des acides aminés non-essentiels que l’organisme sait fabriquer, mais en quantité insuffisante dans certaines situations nécessitant un besoin particulièrement élevé (sport intense, maladie…). Dans ces conditions, notre alimentation doit fournir le complément. C’est souvent le cas de l’Arginine, de la Glutamine, mais aussi de la Cystéine et de la Tyrosine qui peuvent être respectivement obtenues à partir de la Méthionine et de la Phénylalanine.
Au total, on dénombre 20 acides aminés qui servent à fabriquer les milliers de protéines de notre organisme : kératine, hormones, neurotransmetteurs, enzymes, albumine, immunoglobulines, etc.
Les acides aminés sont-ils immortels ?
Non, comme toutes les substances et les cellules de notre corps, ils sont renouvelés en permanence selon un rythme qui leur est propre.
À chaque phase de construction/déconstruction des protéines (anabolisme/catabolisme), quelques acides aminés sont écartés et éliminés. Ils sont remplacés grâce à nos apports alimentaires en protéines, mais notre organisme contribue aussi à leur remplacement en fabriquant les acides aminés non-essentiels.
D’où viennent les acides aminés ?
Les acides aminés sont présents dans la nature et dans notre alimentation. En laboratoire, il est possible de les reproduire selon un processus chimique, mais on peut aussi les fabriquer selon un procédé de fermentation. C’est le cas des acides aminés présents dans nos compléments alimentaires.
À quoi servent les acides aminés ?
Ils servent à fabriquer toutes les protéines de notre corps.
- Par exemple, dans le collagène de notre peau, la Glycine, la L-Proline et la L-Hydroxyproline sont les trois acides aminés les plus représentés.
- Dans la kératine de nos cheveux, on trouve beaucoup de L-Cystéine et de L-Méthionine (deux acides aminés soufrés).
- Le glutathion (un antioxydant) se compose de L-Glutamate (ou Acide glutamique), de L-Cystéine et de Glycine.
- Les fibres musculaires sont riches en L-Leucine, L-Valine et L-Isoleucine (tous trois des acides aminés branchés), et surtout en L-Glutamine.
Acides aminés et protéines
À quoi servent les protéines fabriquées à partir des acides aminés ?
Les protéines interviennent à tous les niveaux dans l’organisme.
Rôle structural
Leur rôle le plus remarquable est structural. Nos muscles, par exemple, sont fabriqués à partir de protéines (actine, myosine). Mais elles servent de structure à tous les autres tissus de notre corps :
- La kératine, par exemple, est la protéine de base qui constitue nos cheveux.
- Le collagène est responsable de la solidité de nos articulations et de la paroi de nos vaisseaux sanguins.
- Notre peau contient aussi du collagène, mais également de l’élastine, une autre protéine qui lui assure sa souplesse.
- Les os sont composés d’une grande famille de protéines, etc.
Rôle hormonal
Les hormones sont majoritairement des protéines : thyroïdiennes, leptine (hormone de la satiété), insuline (régulation de la glycémie), mélatonine (hormone du sommeil), adrénaline, etc.
Rôle de neurotransmetteurs
Les messagers chimiques du cerveau, qui permettent la communication entre les neurones grâce à la transmission d’influx nerveux, sont conçus à partir d’acides aminés : acétylcholine, dopamine, noradrénaline, sérotonine, histamine, glutamate…
Rôle enzymatique
Les enzymes sont des protéines qui assurent les réactions biochimiques dans toutes nos cellules : protéases, lipases, lactases, amylases (des enzymes digestives), réductases, transférases, hydrolases, etc.
Rôle de transporteur
Certaines protéines sont des transporteurs comme la myoglobine, l’albumine et l’hémoglobine qui véhicule l’oxygène dans notre sang.
Rôle immunitaire
Nos fonctions immunitaires nécessitent elles aussi des protéines telles que les anticorps et les immunoglobulines.
Bien d’autres encore…
On retiendra que sans acide aminé pas de protéine, et sans protéine impossible d’assurer la moindre fonction de l’organisme, ni même sa structure. Depuis le cœur de notre ADN jusqu’à la pointe de nos cheveux, notre besoin en acides aminés est crucial.
Combien faut-il d’acides aminés pour faire une protéine ?
Une protéine est un enchainement bien précis d’acides aminés, un peu comme un collier de perles où les perles sont les acides aminés. C’est l’ordre des acides aminés et la configuration en 3D du collier qui déterminent la structure et la fonction propre de chaque protéine.
Il faut en moyenne 300 à 500 acides aminés pour faire une seule protéine.
Par exemple, l’hémoglobine qui transporte l’oxygène dans notre sang est constituée d’un assemblage de deux chaines de 141 acides aminés et de deux chaînes de 146 acides aminés.
Les protéines sont en renouvellement continu : en permanence, de nouvelles protéines sont fabriquées, à partir d’acides aminés, tandis que d’autres sont détruites, libérant leurs acides aminés constitutifs, alors disponibles pour la reconstruction. Le tout dans un équilibre qui dépend de nos besoins et des organes (muscle, foie, cerveau…).
Quelle différence entre un acide aminé, un peptide et une protéine ?
Les acides aminés sont les éléments de base des protéines, comme des briques. Il en faut généralement des centaines pour former une seule protéine.
Un peptide est un enchainement de 2, 3, 10, jusqu’à 50 acides aminés seulement. Selon leur nombre, on parle de dipeptides, tripeptides et polypeptides.
Au-delà de 50 à 100 acides aminés, on ne parle plus de peptides, mais de protéines.
Autrement dit, un peptide est une toute petite protéine.
Ils sont utilisés dans nos compléments alimentaires lorsqu’une protéine est trop grosse pour être absorbée au niveau intestinal. C’est le cas par exemple du collagène présent dans notre peau, qui est composé de 3 chaines en forme d’hélice et qui s’enroulent les unes sur les autres, chaque hélice comportant 1050 acides aminés. Les peptides de collagène sont ici utiles car mieux absorbés et une fois assimilés par l’organisme, ils peuvent directement s’assembler pour fabriquer du collagène. Et pour une action maximale, il nous arrive d’associer dans nos formules à la fois des peptides et des acides aminés constitutifs de la protéine en question.
Les acides aminés peuvent-ils servir à fabriquer autre chose que des protéines ?
L’organisme ne sachant pas stocker les acides aminés (excepté un petit pool d’acides aminés circulants pour subvenir à la fabrication de base en protéines), les acides aminés en excès sont donc décomposés :
- Leur groupement amine est soit recyclé pour refabriquer un acide aminé qui rejoint le pool d’acides aminés libres destinés à produire de nouvelles protéines (le cas de 75% des acides aminés), soit transformé en ammoniac afin d’être éliminé (dans le cycle de l’urée).
- Le reste (le squelette carboné) est soit éliminé sous forme de CO2, soit utilisé pour fabriquer du glucose via la néoglucogenèse (c’est le cas des acides aminés glucoformateurs) ou des acides gras via la cétogenèse (le cas des acides aminés cétogènes). Ceci dit, il existe aussi des acides aminés qui sont à la fois glucoformateurs et cétogènes, c’est-à-dire impliqués à la fois dans la production de glucose et d’acides gras.
C’est ainsi que les acides aminés sont essentiellement utilisés pour fabriquer des protéines, mais leur dégradation peut aussi mener à la production de glucose ou d’acides gras.
Acides aminés et alimentation
Où trouver des acides aminés dans notre alimentation ?
Les acides aminés sont abondamment présents dans toutes les protéines alimentaires.
Les protéines animales (viande, poisson, laitage et œufs) sont les plus intéressantes, car elles apportent les 9 acides aminés essentiels dont l’organisme a besoin, à la fois en termes de diversité et de quantité. Les protéines végétales (céréales et légumineuses) représentent aussi une source d’acides aminés et certains végétaux rivalisent même parfois avec les protéines animales, comme le quinoa et le tofu par exemple.
Notre alimentation suffit-elle à couvrir nos besoins en acides aminés ?
Notre alimentation permet normalement de subvenir à tous nos besoins en protéines et en acides aminés. Elle doit cependant être suffisamment équilibrée et la plus variée possible. En effet, chaque aliment apporte une variété de nutriments qui lui est propre. C’est pourquoi il est recommandé de varier au maximum les sources de protéines.
En cas d’apports insuffisants, en présence de signes évocateurs d’un manque en certaines protéines ou dans les situations qui nécessitent des apports plus importants, comme le sportif de haut niveau par exemple, il peut être intéressant de couvrir une partie de nos besoins à l’aide d’un complément alimentaire. Votre médecin ou votre pharmacien peut vous aider dans cette démarche, et vous pouvez également contacter notre Service Conseil pour un accompagnement personnalisé.
Les végans risquent-ils de manquer d’acides aminés ?
En éliminant les produits d’origine animale, les végans se privent d’une source importante de protéines et donc d’acides aminés, particulièrement de L-Lysine et d’acides aminés soufrés. Il est cependant possible de compenser avec des protéines d’origine végétale, à condition de bien les choisir (certaines protéines végétales ont une composition en acides aminés très proches de celle des protéines animales : ex. quinoa, tofu…), de les diversifier au maximum et de jouer sur les associations. Autrement dit, combiner des protéines végétales dont l’acide aminé limitant n’est pas le même : des céréales pauvres en Lysine mais riches en acides aminés soufrés et des légumineuses pauvres en acides aminés soufrés mais riches en Lysine (ex. riz et haricots rouges, pois chiches et semoule de blé, etc.).
Comment les acides aminés sont-ils absorbés ?
Les protéines apportées par notre alimentation, comme celles contenues dans la viande et les œufs, sont digérées, c’est-à-dire qu’elles sont découpées en protéines plus petites, en peptides, eux-mêmes découpés en leurs composants de base, les acides aminés. Ces derniers sont absorbés au niveau de la muqueuse intestinale et rejoignent la circulation sanguine. De là, ils sont distribués aux cellules qui les utilisent pour fabriquer les nouvelles protéines dont elles ont besoin pour assurer leurs fonctions. C’est ainsi que les acides aminés sont en perpétuel recyclage.
Quels sont les signes d’une carence en acides aminés ?
Les véritables carences sont très rares. En revanche, les insuffisances sont plus plausibles, et elles peuvent s’exprimer de nombreuses façons.
Par exemple, une peau qui se relâche et qui se ride peut refléter un manque de collagène nécessitant un apport en ses acides aminés constitutifs, dont les trois principaux sont la Glycine, la L-Proline et la L-Hydroxyproline. Des inconforts articulaires peuvent nécessiter les acides aminés constitutifs du cartilage et des troubles du sommeil du L-Tryptophane, acide aminé qui permet la production de mélatonine ou hormone du sommeil, etc. Dans certaines situations, apporter des acides aminés qui nous font défaut permet de relancer la fabrication de certains tissus, enzymes, hormones, neurotransmetteurs…
Que deviennent les excès d'acides aminés ?
Après couverture des besoins pour la construction des protéines, les éventuels acides aminés excédentaires sont utilisés pour faire de l’énergie ou éliminés. Ils sont convertis en leurs atomes de base : azote (N) et carbone (C), lesquels sont évacués sous forme d’ammoniac (NH4, cycle de l’urée) et de CO2.
Dispose-t-on d’un stock d’acides aminés dans notre corps ?
Notre organisme n’a pas de stock d’acides aminés. Il n’existe qu’un petit pool d’acides aminés circulants. C’est pourquoi ils doivent être très régulièrement apportés par notre alimentation. S’il vient à en manquer, il puise dans ces propres protéines. C’est ce qui se produit chez le sportif. Après un effort, il doit reconstruire les fibres musculaires qui ont été endommagées. S’il n’a pas suffisamment d’acides aminés, il détruit ses propres protéines pour obtenir les acides aminés nécessaires à la reconstruction. C’est dommage !
Faut-il prendre les acides aminés à jeun ou au cours des repas ?
Les acides aminés peuvent être pris au cours des repas. Ils rejoindront alors la circulation sanguine et participeront à la synthèse protéique générale. En revanche, pris à jeun (en dehors des repas) ils seront assignés à leur spécificité en fonction des besoins du moment. Par exemple, le L-Tryptophane pris à jeun, servira à fabriquer de la sérotonine, l’hormone du bien-être, ou de la mélatonine, hormone du sommeil.
Les acides aminés font-ils prendre du poids ?
En tant que constituants des protéines, les acides aminés apportent 4 calories par gramme, comme les glucides (sucres). Mais les quantités contenues dans les compléments alimentaires sont faibles de sorte qu’ils ne contribuent aucunement à un apport calorique, et donc à une prise de poids.
Acides aminés spécifiques
La taurine est-elle un acide aminé ?
La taurine est un acide aminé que l’organisme peut fabriquer à partir de la L-Méthionine ou de la L-Cystéine. Célèbre en raison de sa présence dans les boissons énergisantes, elle a une forte connotation vitalisante. Pourtant, ses propriétés sont bien différentes. Elle est très abondante dans notre corps sous forme libre, particulièrement dans le cerveau, les muscles et la rétine où elle y joue des rôles très importants, ainsi que dans le lait maternel. La taurine sert également à fabriquer les acides biliaires (elle se conjugue à un dérivé de cholestérol pour produire la bile) et, ce de fait, joue un rôle central dans l’élimination du cholestérol. Mais elle a aussi cette particularité de ne pas participer à la construction des protéines.
Qu’est-ce qu’un acide aminé branché ou BCAA ?
Le terme « branché » vient tout simplement du fait que l’acide aminé possède une structure avec une ramification. C’est le cas de trois acides aminés : L-Leucine, L-Isoleucine et L-Valine. On les appelle couramment des BCAA, acronyme anglais pour Branched-Chain Amino Acid. Constituants majeurs de nos muscles (à eux trois, ils représentent 1/3 des acides aminés d’une fibre musculaire), ils sont souvent utilisés en compléments alimentaires par les sportifs.
Sur les compléments alimentaires, l’intitulé BCAA est accompagné de 3 chiffres. Exemple : « BCAA 2:1:1 » ou « BCAA 4:1:1 ». Ils indiquent la proportion de chaque acide aminé, soit ici, respectivement, 2 ou 4 L-Leucine pour 1 L-Isoleucine et 1 L-Valine.
Qu’est-ce qu’un acide aminé soufré ?
Un acide aminé soufré contient dans sa structure un atome de soufre, qui lui confère une odeur particulière. C’est le cas de la L-Cystéine et de L-Méthionine qui entrent dans la composition de la kératine de nos cheveux et ongles. C’est pourquoi notre produit Effluvium – Croissance et vitalité du cheveu – a une odeur parfois désagréable : il apporte notamment de la L-Cystéine et de L-Méthionine, mais il suffit de conserver le produit au réfrigérateur pour atténuer son odeur de soufre.
Les acides aminés ont-ils un goût ?
Les protéines n’ont pas de goût particulier. En revanche, chaque acide aminé a son propre goût. Leur association contribue au goût des aliments. Le plus remarquable est l’Acide glutamique, responsable du cinquième goût, Umami, différent du salé, acide, sucré et amer. Les acides aminés tels que l’Alanine, la Sérine, la Thréonine se rapprochent du sucré, tandis que des acides aminés comme l’Isoleucine, la Valine, la Lysine et la Tyrosine ont une connotation amère.
Acides aminés chez NHCO Nutrition
Comment sont fabriqués nos acides aminés ?
Nous n’utilisons pas d’acides aminés d’origine animale. Tous sont obtenus par fermentation microbienne. C’est-à-dire qu’ils sont fabriqués en fermentant des ingrédients avec micro-organismes, comme des bactéries ou des probiotiques.
Que signifie « Amino-chélaté » ?
Amino-chélaté® est une appellation déposée par nos soins, utilisée pour désigner une forme minérale ayant une très bonne assimilation et tolérance. Grâce à un procédé innovant et breveté, le minéral est « chélaté », c’est-à-dire fixé à deux ou trois acides aminés selon le minéral. Ainsi protégé au cours de la digestion, il est mieux absorbé et sans les effets secondaires gastriques ou intestinaux liés à la prise de minéraux sous forme de sels (oxyde, sulfate, carbonate, chlorure). C’est le cas de notre bisglycinate (associé à deux acides aminés de glycine) de Magnésium, de Zinc, de Fer et de Calcium.