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Les compléments alimentaires, par le spécialiste des acides aminés.
Douleurs des règles
Pour de très nombreuses femmes, les règles s’accompagnent de douleurs dans le bas ventre. 60% d’entre elles sont concernées également par d’autres gênes physiques et psychiques se manifestant durant plusieurs jours avant l’arrivée des règles. Elles ont un syndrome prémenstruel ou SPM. Selon leur intensité, ces inconforts menstruels peuvent avoir de sérieuses répercussions dans la vie quotidienne. Certains compléments alimentaires comme Cycladys, sont conçus pour aider les femmes à vivre leurs règles plus sereinement.
Douleurs des règles
Le saviez-vous ?
Dans ces deux situations, les inconforts menstruels ressentis sont cycliques, en rapport avec les variations hormonales féminines.
En cas de règles douloureuses (également appelée dysménorrhée), les gênes surviennent en même temps que les saignements et concernent deux femmes sur trois. Le syndrome prémenstruel, également appelé SPM, se caractérise quant à lui par des troubles qui se manifestent quelques jours avant l’arrivée des règles. Ils durent généralement entre 5 et 7 jours, s’atténuent plus ou moins rapidement avec l’arrivée des règles puis disparaissent complètement, avant de réapparaitre au cycle suivant.
Les gênes sont très variables d’une femme à une autre, et touchent à la fois la sphère physique et psychique. Parmi les troubles physiques, les plus fréquents sont des crampes abdominales ou mal de ventre, des douleurs pelviennes (dans le bas ventre), fatigue, douleurs ou tensions dans les seins, prise de poids, ballonnements, gonflements ou œdèmes, migraines… Et parmi les troubles psychiques : sautes d’humeur, colère, irritabilité, émotivité, déprime, anxiété, pulsions alimentaires, insomnies, baisse de libido…
En fonction de sa sévérité, le SPM peut avoir de fortes répercussions dans la vie de tous les jours : absentéisme professionnel ou scolaire, arrêt des activités sportives, tensions dans le couple et la famille, repli sur soi, vie sociale irrégulière, etc.
Aussi étonnant que cela puisse paraitre, les causes du SPM demeurent floues, ce qui explique l’absence de traitement spécifique. Ceci dit, les variations hormonales jouent un rôle important, avec notamment un déséquilibre entre les hormones œstrogènes et la progestérone, les principales hormones sexuelles chez la femme. Il faut savoir que durant le cycle féminin, les œstrogènes sont les hormones qui prédominent durant la première moitié du cycle, jusqu’à l’ovulation, et qui participent chaque mois à la maturation d’un ovule prêt à être fécondé. La progestérone prend ensuite le relai, cette hormone étant surtout impliquée dans l’épaississement de la muqueuse utérine, afin de pouvoir recevoir l’œuf fécondé et permettre ce que l’on appelle la nidation. En l’absence de fécondation, cette muqueuse épaisse et richement vascularisée n’a plus lieu d’être, elle s’autodétruit, menant aux saignements menstruels : les règles.
Un taux trop élevé d’œstrogène et trop bas de progestérone pourrait expliquer au moins en partie le SPM. Selon certaines hypothèses, ce déséquilibre hormonal pourrait avoir une incidence sur la variation de certaines autres hormones ou neurotransmetteurs (prolactine, aldostérone, sérotonine, dopamine…), ce qui contribuerait à expliquer la grande variété des troubles physiques et psychiques du SPM.
• Manger sain et équilibré
• Boire beaucoup d’eau (1,5 l à répartir tout au long de la journée)
• Pratiquer une activité physique régulière d’intensité modérée (au moins 30 minutes par jour)
• Éviter les facteurs aggravants (tabac, alcool, excès de caféine, d’aliments sucrés, de sel)
• Réduire le stress (méditation, relaxation, cohérence cardiaque…)
• Massage abdominal
• Application de chaleur sur les zones sensibles (bouillote, bain chaud) ou de froid selon ce qui calme le mieux.