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Les compléments alimentaires, par le spécialiste des acides aminés.
Yeux
Fatigue visuelle et yeux secs sont des gênes qui affectent de nombreuses personnes, par exemple en passant de longues heures devant un écran. En apportant des actifs spécifiques, la micronutrition via les compléments alimentaires Yeux peut permettre de prévenir et de soulager ces désagréments. Ils peuvent être formulés à partir de pigments naturellement présents dans la rétine connus pour absorber la lumière bleue, d’oméga-3 constitutifs de la membrane des cellules rétiniennes, d’acides aminés ou encore d’oligoéléments aux propriétés antioxydantes contre le vieillissement cellulaire.
Yeux
Le saviez-vous ?
En moyenne, les Français passent 32 heures par semaine devant un écran, et 70% déclarent avoir déjà ressenti une fatigue visuelle (1).
Cette fatigue visuelle débute par des yeux qui piquent, rouges, irrités et secs. Se manifestent ensuite une baisse de l’acuité visuelle, de la sensibilité aux contrastes, une sensation d’éblouissement ou de vision double et une fatigue oculaire.
Ces phénomènes sont le plus souvent liés à une forte exposition à la lumière bleue, qui est une lumière de haute énergie, émise naturellement par le soleil et artificiellement par les LEDS utilisées pour les appareils numériques (télé, ordinateur, téléphone), car elle consomme peu d’électricité pour une forte intensité d’éclairage. Cependant, ce rayonnement bleu artificiel s’avère nocif, jusqu’à 100 fois plus que celui des autres longueurs d’onde (2).
C’est pourquoi, après de longues heures passées devant un écran, une fatigue visuelle peut se ressentir. De plus, les muscles oculaires font davantage d’efforts pour effectuer une mise au point sur les écrans situés à moyenne distance.
Afin de se protéger, les yeux renferment des filtres naturels composés de pigments, mais ils peuvent être insuffisants pour protéger efficacement les photorécepteurs de la rétine et empêcher une baisse de l’acuité visuelle (capacité de l’œil à percevoir les détails les plus infimes, à courte comme à longue distance). En effet, la rétine est une membrane qui tapisse le fond de l’œil, équipée de cellules photoréceptrices destinées à recevoir les impressions lumineuses et à les transformer en influx nerveux pour les transmettre au cerveau.
Il existe 2 types de photorécepteurs : en forme de bâtonnets (sollicités pour la vision nocturne et situés en périphérie) et de cônes (sensibles aux fortes luminosités et aux couleurs, regroupés dans la région centrale de la rétine appelée la macula et responsable de la vision centrale et précise des détails). Tous 2 utilisent pour fonctionner des pigments, respectivement la rhodopsine et l’opsine.
L’absorption de la lumière par les pigments des photorécepteurs requiert une quantité très importante d’oxygène. Or comme toutes réactions qui utilisent de l’oxygène, elles rejettent des déchets oxydés appelés « radicaux libres », car très agressifs pour les cellules, que la rétine doit éliminer afin de limiter les dommages cellulaires. Ce phénomène s’appelle le stress oxydatif. Il est responsable du vieillissement prématuré de nos cellules, dont les cellules visuelles.
Pour nous prémunir des radicaux libres, nous disposons de substances antioxydantes, fabriquées par notre corps ou apportées par notre alimentation.
- Des antioxydants endogènes : SOD (SuperOxyde Dismutase), glutathion et catalase.
- Des vitamines antioxydantes : vitamines C et E
- Des oligoéléments : Zinc, Sélénium et Cuivre
- Des pigments naturels
Ces antioxydants contribuent à protéger les cellules des radicaux libres afin de prémunir nos organes visuels d’un vieillissement accéléré associé à certains troubles de la vision.
Associé à une sécheresse oculaire, le syndrome de l’œil sec (qui est une maladie nécessitant de consulter un professionnel de santé) est caractéristique d’une fatigue oculaire.
La pollution atmosphérique, la fumée de cigarette, la poussière, l’air climatisé et le vent peuvent aggraver la sécheresse oculaire. Le fait de moins cligner des yeux, comme c’est le cas lors du travail sur écran, peut également s’accompagner d’une sécheresse oculaire et d’une sensation d’irritation. Utilisés pendant plus de 4 heures, les écrans augmentent ce risque de sécheresse oculaire, car ils diminuent de 30% à 50% la fréquence et l’amplitude du battement des paupières, ce qui ralentit le renouvellement du film lacrymal de l’œil (3). Avec l’âge également, la production de larmes par les glandes lacrymales tend à diminuer en quantité, mais également en qualité, favorisant le risque de sécheresse des yeux.