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Les compléments alimentaires, par le spécialiste des acides aminés.
Grossesse
Durant toute la grossesse, il est nécessaire d’adopter une alimentation variée et équilibrée pour soi et pour le bon développement de l’enfant à naitre. Elle n’est cependant pas toujours suffisante pour apporter tous les nutriments et micronutriments nécessaires, d’autant plus que les besoins sont augmentés durant cette période très particulière. C’est pourquoi les professionnels de santé sont parfois amenés à prescrire des compléments alimentaires. Les plus couramment prescrits aux femmes enceintes sont les compléments en acide folique (vitamine B9), en fer, en vitamine D.
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Magnésium bisglycinate
A partir de : 13,90 €Amino-chélaté®
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Orthosamine
19,90 €Vitamines, Minéraux, Acides aminés
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Fer bisglycinate
14,90 €Amino-chélaté®
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L-Tryptophane
15,90 €Acide aminé pur
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Nutragest Maternité
25,90 €Grossesse, Désir d’enfant, Allaitement
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Immudia Dès 3 ans
19,90 €Immunité, Enfants dès 3 ans, Adultes
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Calcium bisglycinate
21,90 €Amino-chélaté®
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Chrome picolinate
19,90 €Amino-chélaté®
Ajouter au panierVegan4 avis
Le saviez-vous ?
L’alimentation n’est pas toujours suffisante pour apporter tous les nutriments nécessaires à la future maman et au bébé. C’est ainsi que de nombreuses femmes enceintes sont à risque de déficiences en certains minéraux et vitamines. Parmi les minéraux qui sont les plus souvent susceptibles de manquer : le fer, le calcium et l’iode. Parmi les vitamines : l’acide folique (vitamine B9) et la vitamine D.
Manger deux fois mieux pendant la grossesse.
La grossesse est une période physiologique très particulière, dont le bon déroulement dépend notamment de nos apports en nutriments. Il ne s’agit donc pas de manger deux fois plus, mais deux fois mieux pour répondre à plusieurs objectifs :
- Assurer les transformations anatomiques et physiologiques de l’organisme maternel durant toute la grossesse
- Permettre le développement optimal du fœtus et la croissance de l’ensemble de ses organes.
- Préparer l’allaitement.
Une alimentation insuffisante en quantité, en qualité et en variété peut entrainer des carences en micronutriments, perturber l’état de santé, le bon déroulement de la grossesse et de l’allaitement. Si vous attendez un enfant et idéalement avant même la conception, soit dès le projet de maternité, faites le point sur vos habitudes alimentaires et modifiez-les en conséquence. C’est un sujet à aborder avec le médecin ou la sage-femme qui va vous suivre durant toute votre grossesse. Il vous aidera à améliorer votre alimentation et vous proposera si nécessaire une supplémentation en vitamines, minéraux et parfois aussi de consommer des oméga-3. En France, une supplémentation en acide folique est systématiquement proposée aux femmes enceintes. Mais d’autres vitamines peuvent se révéler utiles. A savoir : 10% des couples restent non fertiles après 2 ans de tentative et dans 25% des cas l’absence de fertilité est inexpliquée (1).
Pourquoi supplémenter les femmes enceintes en acide folique ?
Cette vitamine joue un rôle clé dans le risque de malformations fœtales liées au spina bifida. Cette malformation du fœtus peut se produire lors des premières semaines de la vie utérine et entrainer de lourdes séquelles, notamment neurologiques. Un taux satisfaisant en acide folique réduit de deux tiers ce risque. Or selon l’étude INCA 3, 75% des femmes fertiles en âge de procréer ont des apports insuffisants en acide folique (2). C’est pourquoi il est recommandé aux femmes enceintes de se supplémenter dès l’arrêt de la contraception (à l’aide de compléments alimentaires en gélules) et jusqu’à la 6ème ou 8ème semaine de grossesse.
Avant et pendant les premières semaines de grossesse, consommer un complément alimentaire en acide folique est conseillé à hauteur de 400 μg par jour sous forme de gélules ou capsules (Haute Autorité de Santé, 2009). Il est par ailleurs suggéré de prendre une forme active très assimilable. En effet, pour être utilisée par l’organisme, cette vitamine doit subir au préalable une transformation enzymatique. Or chez 10 à 15% des femmes, cette transformation n’a pas lieu ou se fait mal. Afin de permettre à toutes les femmes de bénéficier d’une supplémentation en acide folique adaptée, nous avons choisi chez NHCO de formuler notre produit Nutragest Maternité (gélules et capsules) avec une forme de vitamine B9 hautement biodisponible (critère important pour garantir l’efficacité et l’absorption de l’acide folique par l’organisme) : l’acide folique Optifolic.
Quel est le rôle de la vitamine D chez la femme enceinte ?
La vitamine D est essentielle pour la formation du squelette du fœtus. Elle permet le transfert du calcium maternel vers le fœtus, lequel sera nécessaire à la minéralisation des os du bébé. Elle a également un impact positif sur le développement du cerveau du nouveau-né et sur le système immunitaire de la future maman.
Comment lutter contre la fatigue chez la femme enceinte ?
La fatigue est l’un des premiers symptômes au cours de la grossesse. Particulièrement au premier et troisième trimestre, il est normal pour une femme enceinte de se sentir fatiguée. Cette fatigue témoigne des grandes transformations physiologiques et hormonales qui se déroulent dans l’organisme maternel. Attention toutefois à ce qu’elle ne soit pas le signe d’un problème de santé sous-jacent ou d’une insuffisance alimentaire en micronutriments. C’est le cas par exemple d’une carence en fer, bien connue pour s’accompagner d’un état de fatigue. Or il semblerait que 10 à 40% des femmes enceintes aient des réserves en fer trop basses (3). Cet état n’est pas souhaitable sachant que la grossesse entraîne justement une augmentation des besoins en fer, liée à l’élévation de la masse sanguine, à la croissance fœtale et au développement placentaire.
Quels bienfaits attendre d’un complément alimentaire contenant de l’iode ?
Impliqué dans la synthèse des hormones thyroïdiennes, l’iode est un oligoélément déterminant chez la femme enceinte. Dès le début de la grossesse, le fœtus puise chez sa mère les hormones thyroïdiennes qui lui sont nécessaires. Progressivement, il devient capable de fabriquer lui-même ses hormones, mais pour cela, il utilise l’iode maternel pour son développement cérébral. Une femme enceinte doit donc disposer de suffisamment d’iode pour elle et son bébé. Or selon l’enquête INCA3, les apports en iode liés à l’alimentation quotidienne sont en dessous des recommandations.