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Comment RALENTIR le vieillissement par l’alimentation ?

Le vieillissement est un processus naturel progressif. Certains facteurs peuvent l’accélérer, comme le tabagisme, l’exposition aux UV ou à la pollution. Mais il est également possible de freiner le vieillissement. Pour cela, nous disposons de 3 grands piliers qui agissent en interaction : Le mouvement, l’activité physique, le sport, la gestion du stress et des moments de vie difficiles, l’alimentation.

Notre alimentation a le pouvoir de ralentir le vieillissement du corps et de l’esprit en apportant certains nutriments et micronutriments tels que des vitamines, des oligoéléments, des antioxydants, certains lipides, etc. Zoom sur le rôle des protéines, des oméga-3 et des fibres.

Le rôle « anti-âge » des protéines

Les protéines apportées par l’alimentation sont essentielles à une bonne construction des muscles et à l’équilibre émotionnel qui participe à la motivation, à l’envie de faire du sport par exemple, et qui contribue à nous protéger du stress. Lors de la digestion, les protéines sont décomposées en acides aminés, lesquels sont absorbés au niveau de l’intestin pour être distribués aux cellules qui les utilisent pour refabriquer des protéines musculaires, des hormones et des neurotransmetteurs dans le cerveau. C’est ainsi que le manque de protéines impacte toutes les fonctionnalités du corps. Pour un fonctionnement optimal de l’organisme, nos besoins de base ont été évalués à 0,83g de protéines par jour par kilo de poids corporel. À défaut, nous nous exposons notamment à une perte de masse musculaire et à divers déséquilibres. Au cours du vieillissement, l’acidité gastrique tend à diminuer. Or cette acidité est nécessaire à la digestion des protéines. Résultat : au fil du temps, la digestion se fait moins bien, nous amenant à consommer moins de protéines. Cette problématique expose par exemple à une fonte musculaire (sarcopénie).

Le collagène est une protéine

Le collagène est la protéine la plus abondante du corps. Localisée entre les cellules, elle est présente partout dans le corps. Elle joue un rôle crucial, et notamment structural, au niveau de la peau avec de nombreuses études ayant analysé son lien avec le vieillissement. Mais elle est également indispensable au confort articulaire. La problématique actuelle est que nous ne trouvons plus beaucoup de collagène dans notre assiette, autrefois surtout apporté par la peau du poulet et les bouillons d’os. De plus, à partir de 25 ans, la synthèse de collagène par notre propre organisme diminue de 1% par an, de sorte qu’à 80 ans, près de 75% du collagène du corps a disparu, expliquant notamment l’apparition des rides et des inconforts articulaires. Enfin, notre corps n’est pas capable de stocker les protéines. Il existe bien un pool d’acides aminés libres circulants qui servent à construire les protéines, mais celui-ci est extrêmement faible. Pour toutes ces raisons, il est primordial de consommer suffisamment de protéines au quotidien en fonction des besoins physiques et psychiques de chacun. Il peut également être intéressant de se supplémenter en collagène en choisissant des compléments alimentaires renfermant des formes bien assimilées, comme des peptides ou petits morceaux de collagène et non la molécule entière (collagène natif) qui est difficilement absorbable. Ces peptides vont servir à refabriquer du collagène là où l’organisme en a besoin.

Existe-t-il une alimentation néfaste aux articulations ?

Une alimentation pro-inflammatoire peut accélérer le vieillissement des articulations et des autres organes. C’est le cas des aliments ultra-transformés, dont le traitement industriel les appauvrit en micronutriments, et des agents avancés de glycation qui se forment par exemple lors de la cuisson au barbecue (partie brunie, brulée ou fumée des aliments).
Ce type d’alimentation active directement l’inflammation dans l’organisme et génère du stress oxydatif.

Bien vieillir, ça se passe aussi dans la tête

L’excès de stress induit une surconsommation de micronutriments. Nos besoins en magnésium par exemple, augmentent pour répondre à la situation de stress. Mais en parallèle, le stress induit une perte de magnésium dans les urines, renforçant les risques de déficience, d’autant plus que notre mode d’alimentation actuelle peine de plus en plus à fournir les 360 mg de magnésium nécessaires chaque jour*.

Êtes-vous carencé en magnésium ?

Un ensemble de signes peut indiquer un manque de magnésium : tressautement des paupières, crampes, hypersensibilité au bruit et à la lumière, fatigue et perte d’énergie (le magnésium est essentiel à la production de l’énergie cellulaire).
Certains aliments sont plus particulièrement riches en magnésium, comme les noix, le chocolat, le café, les céréales complètes, les crustacés et certaines eaux minérales.
Une supplémentation peut aussi se révéler nécessaire, mais attention à choisir une forme bien assimilée tout au long du tube digestif, comme notre bisglycinate de magnésium.

Le stress chronique et la fatigue entrainent par ailleurs un dérèglement dans le cerveau, notamment du cortisol (hormone du stress) et des autres neurotransmetteurs responsables du mental et de la motivation. Tous ces messagers doivent être en perpétuel équilibre pour garantir un fonctionnement cérébral optimal. Les 4 principaux neurotransmetteurs sont : • Le GABA (acide gamma amino-butyrique) : impliqué dans la stabilité émotionnelle (le calme) • La sérotonine : l’hormone du bonheur, de la joie • La dopamine : l’hormone de la motivation (l’entrain du matin) • La mélatonine : l’hormone du sommeil, nécessaire à une bonne santé mentale et physique Ces neurotransmetteurs sont fabriqués à partir des acides aminés que l’on retrouve dans les protéines alimentaires. En fonction de nos sensations, par exemple en cas de pulsions sucrées et de baisse de moral, il est possible d’orienter nos choix alimentaires vers des produits qui apportent plus spécifiquement certains acides aminés, comme ici du tryptophane impliqué dans la fabrication de la sérotonine. La consommation d’amandes, d’un ou deux carrés de chocolat noir et d’une banane en collation peut ainsi favoriser naturellement notre production de sérotonine et pallier certains désagréments liés au manque de sérotonine.

Les oméga-3 : des micronutriments anti-vieillissement

En plus de leurs propriétés cardiovasculaires protectrices, les oméga-3 jouent un rôle particulièrement important sur la bonne santé du cerveau.
Les poissons gras (harengs, sardines, maquereaux, saumon) et certaines huiles végétales (colza, lin, noix) constituent des sources intéressantes d’oméga-3.
Les antioxydants et les vitamines antioxydantes sont eux aussi essentiels pour entretenir son cerveau et prévenir le vieillissement des cellules : aliments colorés de saison (fruits rouges, carottes, potimarrons, tomates), épices, cacao, herbes aromatiques…
Les compléments alimentaires comme Nucléox, qui intègrent de nombreuses sources différentes d’antioxydants, peuvent contribuer à neutraliser les excès oxydatifs lors de déséquilibre.
Enfin, en parallèle d’une alimentation suffisante en protéines, oméga-3 et antioxydants, il est important de stimuler son cerveau avec des jeux intellectuels, des échanges, des discussions et une vie sociale.

Les fibres, des alliées anti-âge pour aider à ralentir le vieillissement

Les fibres participent à de très nombreuses fonctions anti-âges. En plus d’apporter toutes sortes de micronutriments, elles renforcent l’activité antioxydante, aident à lutter contre la perméabilité intestinale, elles sont satiétogènes, régulent le taux de sucre dans le sang et la bonne santé du microbiote intestinal. Pour s’assurer un apport satisfaisant de fibres, il est nécessaire d’augmenter progressivement la part des végétaux (fruits, légumes, légumineuses) dans son alimentation, jusqu’à ce qu’ils représentent la moitié de l’assiette.

L’alimentation anti-âge se construit dans la durée

Une alimentation saine anti-âge se construit dans la durée. En cas d’écart, il suffit de rééquilibrer en augmentant la part des protéines, des oméga-3 ou des antioxydants pour contrer les effets néfastes d’une alimentation pauvre en protéines ou pro-inflammatoire. En effet, il est primordial d’entretenir le plaisir de manger. Seuls les excès et les erreurs répétitives sont préjudiciables à la santé physique et mentale.
types collagene

Le conseil NHCO 

La micronutrition doit être personnalisée en fonction des habitudes alimentaires et des besoins spécifiques de chacun. Il est donc conseillé de se faire accompagner par un professionnel formé à la micronutrition, comme auprès d’un de nos pharmaciens partenaires ou de notre service conseil consommateur.

* Étude SU.VI.MAX (SUpplémentation en VItamines et Minéraux Anti-oXydants), Dr Hercberg S.

Les produits NHCO

NucléOx

Antioxydant, Protection cellulaire.
1 boîte : 3 à 6 semaines.

Rétinium

Santé des yeux, Vision.
1 boîte : 4 semaines.

Laboratoire Français

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